Sac à dos imperméable : voici les critères auxquels il faut faire particulièrement attention

sac à dos zulupack

Le sac à dos est, avec des chaussures confortables et antidérapantes, l’outil le plus important du randonneur. La plupart du temps, même pour les randonnées à vélo, un petit modèle suffit pour ranger le strict nécessaire pour la journée. Quelques provisions pour la pause au sommet, des documents personnels et, selon la saison et les conditions météorologiques, un t-shirt sec, un bonnet et des gants. Il n’en faut pas beaucoup plus pour être en sécurité. Mais que se passe-t-il si le temps change en cours de route et que des nuages noirs apparaissent ? Un sac à dos imperméable vaut alors son pesant d’or.

Qu’est-ce que cela signifie en réalité, être étanche ?

Qu’il s’agisse d’une veste imperméable, d’un sac à dos, d’une housse de téléphone portable ou de chaussures de randonnée : l’imperméabilité ne signifie rien d’autre que l’absence de pénétration de l’eau à travers le matériau et donc dans le smartphone, dans les chaussettes ou à l’intérieur du sac à dos de randonnée. En règle générale, des membranes spéciales veillent à ce que seule la surface du sac à dos ou de la veste absorbe l’eau et que même les grandes quantités de pluie restent ainsi dehors.

Plusieurs modèles de sac à dos étanche sont vendus sur zulupack.com/fr/. Les sacs à dos proposés sur la plateforme sont disponibles en plusieurs capacités : 20l, 25l, 40l. Il y a également des sacs bananes étanches et des poches de téléphone étanche sur zulupack.com.

On pourrait maintenant se demander pourquoi il existe en plus des vêtements dont le matériau est déclaré « hydrofuge » ou « résistant à l’eau ». La différence est de taille : les tissus imperméables font rebondir les gouttes de pluie sur eux. En cas de pluie persistante ou de forte pluie, ils doivent néanmoins s’avouer vaincus par les masses d’eau. Cela appelle des normes auxquelles les clients peuvent se référer pour ne pas se retrouver soudainement en vacances comme des caniches arrosés dans la forêt.

Faits et chiffres sur la colonne d’eau

La colonne d’eau est la norme internationale par laquelle l’industrie textile rend transparente la manière dont la perméabilité à l’eau d’un tissu est mesurée. Ou, en d’autres termes, combien de temps il faut pour qu’un certain matériau ou une membrane ne puisse plus retenir l’eau. En Europe, c’est la norme EN 343:20210-05 qui fait foi en la matière. Pour déterminer la colonne d’eau, le tissu à tester est exposé à l’eau en laboratoire et la pression est successivement augmentée. Le test dit de Suter se termine dès que la troisième goutte a traversé le matériau et est visible sur la face intérieure. Si cela se produit à une pression d’eau de 0,5 bar, cela correspond à une colonne d’eau de 5000 millimètres. Les textiles sont considérés comme imperméables à partir d’une colonne d’eau de 1500 millimètres. Du moins si aucune pression supplémentaire n’est exercée sur le tissu. Si, par exemple, les bretelles du sac à dos appuient sur les épaules mouillées par la pluie, une colonne d’eau plus importante est nécessaire pour rentrer au sec. Le vent peut également jouer un rôle.